Se motiver, une vitalité !

Se motiver, une vitalité !

Bonsoir à tous,

Ici n’est pas coutume d’écrire un article un samedi soir. Je n’ai rien d’autre à faire que de parler de la motivation aujourd’hui (oui c’est un paradoxe). Avant de commencer je tiens quand même à préciser que cette article va mener à vous remettre en question, je m’explique. Tout article que je fais à un but, ce but est de vous faire réfléchir sur une question ou un moment de la vie. En plus de la philo que j’aime parler et des autres questions plus complexe, je me suis engagé à répondre aux problèmes et questions concernant notre vie. C’est pour ça d’ailleurs que je vais parler de motivation.

Avant de commencer à parler de Motivation, faudrait savoir ce qu’est la motivation !

Merci Wikipédia :

Motivation : 

La motivation est, dans un organisme vivant, la composante ou le processus qui règle son engagement pour une activité précise. Elle en détermine le déclenchement dans une certaine direction avec l’intensité souhaitée et en assure la prolongation jusqu’à l’aboutissement ou l’interruption. Cette notion se distingue du dynamisme, de l’énergie ou du fait d’être actif.

Vous l’aurez compris, encore du vivant, on va encore parler de l’homme etc… Oui je sais.

D’ailleurs ! j’ai eu une idée à l’instant (oui je vous l’écris), à un moment sur ce blog il y aura un Article avec un grand A cette article parlera de nous, l’homme. C’est tout.

Bon on va commencer pendant que j’ai encore la motivation. Qu’est ce qu’être motivé ? Et bien moi à ce moment je suis motivé de parler de motivation, c’est drôle quand même de savoir quoi dire et faire alors qu’on pourrait passer du temps à regarder des séries, à manger et boire comme des fous et en attendant que le week-end passe pour retourner au travail dès lundi matin, revoir nos collègues, nos patrons, et devoir être assis sur une chaise pendant des heures ou inversement debout, sur une chaise pendant des heures, avant de tout simplement retourner chez sois, manger, dormir… Et ça chaque jours de notre vie. Mais il y a un truc qu’on a tous. Par exemple moi quand mes parents me disent qu’on va acheter des habits, des chaussures, ou des choses qui me plaisent, en général que je sois dans mon lit ou en train de faire quelque chose, je m’arrête et je vais avec eux. Je suis motivé juste par intérêt et d’ailleurs ils me le font bien savoir, que pour ranger non, mais pour des choses oui.. Sacré parents.. La motivation est donc de grande ampleur. Il peut aller de l’enfant en bas-âge jusqu’à l’adolescent farouche et l’adulte. Être motivé c’est quoi ? C’est de vouloir quelque chose qu’on a pas, c’est ma définition : « Quand on veut, on peut ».

Quand on veut quelque chose, on peut le faire c’est d’ailleurs de là que vient la motivation, si par exemple une fille veut quelque chose je sais pas moi un petit ami, elle va l’avoir ! Si bien sûr elle s’en donne les moyens hein ne soyons pas stupide à croire qu’en claquement de doigts et bien elle l’aura son copain hein. Mais c’est une idée de pourquoi faut-il se motiver ? AH PREMIERE QUESTION ! Pourquoi il faut se motiver ? Et bien car la vie comme on dit, elle est trop courte, et que si on veut quelque chose il faut bouger ses fesses et l’avoir. En vérité se motiver c’est dur, et quand je vous dit ça je sais de quoi je parle ! Mais si on se motive pas dans la vie on aura jamais rien. Par exemple, les gens qui veulent changer ce qu’il ne va pas chez eux, ne peuvent rien faire sans motivation venant d’elle même. L’idée est bonne, imaginé quelqu’un de gros, qui a des problèmes de santé, mal vue par les gens etc… qui veut changer, et bien cette idée est super bien même ! Mais mon beau monsieur, vous êtes motivé à changer ? Il y en a oui et d’autres non..

Le fait d’être motivé sur une idée à un impact, et c’est à ce moment qu’on désigne les meilleurs. Qu’est ce que j’appelle les meilleurs ? Les « meilleurs » sont les personnes qui veulent en donner, qui sont prêts à tout donner pour voir leurs projets aboutir tout simplement. C’est avoir une âme de vainqueur. Soit vous êtes motivé, même si les gens vous critiquent vous le faite, soit vous êtes motivé, les gens vous critiquent et vous arrêtez et vous vous remettez en doute. Ce fut mon cas pendant un bout de temps. Il s’avère que j’avais des collègues qui me démotivaient. Je n’arrivais plus à vouloir quelque chose tellement on me mettait des battons dans les roues… Je me renfermais et je ne comprenais pas. Sachez le, ces gens là ils veulent rester numéro un, mais c’est là où déjà on se rend compte de ses amis hein, et de deux on se rend compte de ce que veulent les gens. En plus des hypocrites vous avez les démotivateurs. Ces bêtes noirs sont les plus forts, et veulent garder cette place. Le seul moyen de prendre leurs place, est de se motiver et de ne pas les écouter. Ils vous tournent le dos ? Car ils savent que vous êtes capable du mieux. Ils vous voient changer de jours en jours et ils paniquent. Et c’est là que c’est marrant car ils reviennent à chaque fois ! Vous pouvez bien rigoler en faite avec les gens juste en étant motivé. Bien sûr à coté vous avez les meilleurs, c’est ceux qui vous motive coûte que coûte ! peut importe comment ils sont, ils vous motiveront et iront de l’avant avec vous, et ça c’est beau. Gardez les ces gens là durant votre vie vous en aurez besoin !

Je vais prendre pour exemple une personne qui cherche à connaitre qui elle est. Cette personne ne parle pas beaucoup, et ne fait pas vraiment des choses extraordinaire… Cette personne est là mais n’est pas charismatique de fou. Le remède est de changer, si cette personne commence à changer de visage, de tenue, et à montrer qu’elle sait faire des choses. Ne vous inquiétez pas que cette même personne va avoir du charisme par la suite !

J’ai une anecdote assez marrante d’ailleurs. Il faut savoir que je connais quelqu’un qui crache un peu derrière le dos des gens, et qui en fasse se métamorphose comme par enchantement. Cette même personne se sous estime, alors qu’elle n’y a pas de raison. Et bien cette personne c’est une bête noir, car elle démotive les gens. Et vous savez quoi ? Cette personne à vue les autres changer, et elle a elle aussi changer. Mais en plus mal qu’avant… Malheureusement… Et dites vous que j’en faisais partis des gens qu’elle démotivait, mais j’ai quand même compris la supercherie et j’ai commencé à changer de moi même. C’est apprendre non pas de ses erreurs mais du milieu. Être motivé ne reviens qu’à vous, pas aux autres, ne laissez en aucun cas quelqu’un vous démotiver pour n’importe quel excuse et pour n’importe lequel de vos projets. Vous êtres maître de vos pensées et de vos actes. Réfléchissez à qui vous vous confiez vous pourriez avoir des conséquences sur vous même.

La motivation reste assez vaste, mais définit un trait de l’homme, être motivé sert à vouloir ce que l’on a envie. Et peut importe si on veut quelque chose, faite le !

Merci à tous d’avoir lu cette article ! Il se peut que je le complète au fur et à mesure du temps pour pouvoir discuter sur d’autres points de la motivation en général ou précisément de quelque chose.

Si vous avez des questions ou autres, cela ce passe en commentaire.

Je vous souhaite à tous de réaliser vos rêves et vos pensées ! C’est votre vie, pas la mienne pas la leurs, la votre, et elle est précieuse !

Quelques citations :

« Yes you can » Barack Obama. « Oui vous pouvez ».

« Believe in Yourself » . « Croyez en vous ».

« N’abandonne surtout pas à cause de ce qu’une personne a dit; Utilise ces paroles comme source de motivation pour travailler encore plus fort ».

 

2 réflexions au sujet de « Se motiver, une vitalité ! »

  1. Bonjour,
    J’aime beaucoup cet article, et j’ai envie de le relier à un philosophe: Spinoza. Je sais bien, on peut s’interroger: « pourquoi toujours tout ramener à des philosophes morts? » La réponse est simple surtout pour Spinoza, qui, je dois l’avouer, est un peu mon préféré: parce qu’il a passé sa vie entière à essayer de comprendre ce que vous appelez motivation et que lui a dénommé « le conatus ». Juste un mot sur sa vie: Spinoza (1632 – 1677) est né dans la communauté juive d’Amsterdam. Il a assez vite compris que quelque chose n’allait pas dans ce qu’on lui enseignait comme rite religieux, comme philosophie, comme façon de vivre, etc. Il a essayé de le dire, de l’écrire. Il y a eu des réactions violentes de la part de son entourage, et même une tentative de meurtre. En fait il est parti. Il a tout quitté, il a renoncé à sa famille, à son héritage, à ses anciens amis. Il est parti dans une autre ville, et s’est installé dans une maison. Il gagnait sa vie en polissant des lentilles de vue et en écrivant de la philosophie, en discutant de temps à autre avec de nouveaux amis. C’est vraiment incroyable cette rupture. On a du mal à imaginer la force de conviction nécessaire à un tel changement mais en même temps, il est aussi difficile d’imaginer une vie dans laquelle rien de ce que nous pensons né dépasse de ce que nous faisons. Une adéquation à soi parfaite, sans concession à des usages débiles, à des habitudes, à des traditions à la con. C’est vraiment travailler sa vie comme un pur diamant et je me dis souvent que Spinoza polissait sa vie comme les verres de vue qu’il lustrait dans son atelier. Donner à son existence quelque chose de simple, de cristallin en faisant exactement ce qu’on se sent devoir faire, en fonction de son éthique et seulement celle-là (parce qu’on a vraiment compris que la morale, parfois les lois, les conseils avisés des personnes autorisées, ça ne suffisait pas). Bref, on retrouve vraiment du Spinoza dans votre article à deux moments. Disons que pour Spinoza, nous ne sommes pas « quelqu’un », un être, une substance. Nous sommes plutôt l’effort que nous faisons pour persévérer dans l’existence. Nous existons plus que nous ne survivons. On pourrait dire que nous sommes toujours au seuil de l’être. Un peu grandiloquente cette phrase. Personne ne devrait dire: »celui-là, il est comme ça,ou il est trop comme ça… » En fait nous sommes toujours dans l’effort d’être et c’est tout. Je suis l’intensité que j’investis dans le fait d’exister, et il y a des intensités plus fortes que d’autres. Pour le dire avec vos termes.Nous sommes d’abord une certaine motivation d’exister. C’est en cela que nous consistons. Deuxième chose troublante: Spinoza a parlé aussi de ces gens que vous appelez les « démotivateurs ». Pour lui, ce sont des rabatteurs de passions tristes. Personnellement, j’ai tendance à les identifier à ces personnes que l’on trouve souvent dans certaines administrations et qui prennent leur pied à nous expliquer qu’ avoir un passeport, une carte d’identité, un « nom », ça ne ne se fait pas comme ça. »Il y a des procédures » et on sent bien qu’ils respirent dans cet air saturé d’attestations, de certificats, de signatures. C’est la « procédurière attitude ». Exister, ça se cadre et surtout ça se recadre. Il faut s’éloigner de ces gens là. Tout ce qui se passe de vrai et de puissant dans une vie se passe ailleurs que là. Un rabatteur de passions tristes est une personne qui a fait une croix sur l’existence authentique et il n’y a rien d’autre à faire que de le laisser tout seul se racornir et s’étouffer dans ses attestations.
    Bon j’arrête là mais il a encore tant de choses à dire là dessus. Ah si juste ça: avec Spinoza on comprend que la motivation c’est vraiment nous. Peu importe ce que l’on essaie d’atteindre voire même si on l’atteint ou pas parce qu’exister c’est finalement le seul but à atteindre. Vous allez me dire que ça marche puisque nous existons mais ce n’est pas tout-à-fait vrai. Celui qui a dédié sa vie entière à l’administration n’existe pas, il survit, il évolue dans une bulle qui reste toujours à l’écart de l’existence authentique. C’est quoi: l’existence authentique? Celle dont chacun de nous porte en lui le vrai potentiel: Van Gogh, Bob Dylan, Picasso, Verlaine, etc. les artistes ne se posent pas la question de leur motivation parce qu’ils « sont « leur motivation. Ils ne passent pas leur vie à défendre des idéaux politiques, idéologiques ou philosophiques. Ils se sentent poussés à créer et pas du tout pour arriver quelque part mais du fait de leur nécessité à exister. C’est ça avoir du style, avoir de l’élégance. On peut exister comme Picasso ou vivre comme Trump et l’époque que nous vivons (excusez-moi d’être un peu négatif mais je le pense vraiment: époque sinistre parce que sans élégance, ni beauté, ni gratuité) nous place de plus en plus devant cette question: voulez-vous vraiment prêter attention à votre motivation, devenir celui que vous êtes (comme dit Nietzsche) ou bien vouloir vous faire connaître, avoir du succès et perdre votre véritable motivation? Chacun de nous est un artiste et c’est à cette motivation là qu’il faut se consacrer parce qu’autrement nous mourrons sans savoir qui nous sommes.
    Merci encore pour l’enthousiasme et la justesse de vos articles.
    JB

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